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Détails sur le produit

• Rang parmi les ventes : #117219 dans Livres
  
• Publié le: 2016-11-21
• Sorti le: 2016-11-21
• Langue d'origine:
  Français
• Dimensions: 4.25" h x
  .55" l x
  7.01" L,
  
• Reliure: Poche
• 224 pages

Commentaires clients

Commentaires clients les plus utiles

18 internautes sur 19 ont trouvé ce commentaire utile.
entre belle prose et recherche spiriutelle casse- bonbon
Par Nolde
Haenel sait écrire ; il a naturellement une prose fluide et agréable à lire. Il avait réussi à raconter en 2007, comme les Surréalistes- une errance dans paris sous le titre "Cercle" qui affirmait une sensualité et une richesse de prose…il y avait aussi et une recherche d'épiphanies et de moments de grâce, et de signes, son livre sur jan karski m'avait choqué, tout simplement par le fait qu'il faisait dire n'importe quoi à Roosevelt, lorsqu'il rencontra ce polonais Karksi venu lui décrire les horreurs des ghettos et des camps de concentration en Pologne; je ne crois pas qu'on puisse introduire de la fiction sur des moments clés de l'histoire, surtout sur un tel sujet ; nous ne sommes pas dans Alexandre Dumas. Là, avec "je cherche l'italie", Haenel nous raconte trois années passées à Florence. c'est écrit comme un journal intime.c’est un écrivain qui a emporté avec lui les ouvres complètes de Bataille, donc il est un peu obsédé par les phrases de Bataille,reflexions sur l’Erotisme, le Mal, etc..en bon touriste est évidemment attiré par les fresques cloitres, baptistères, couvents, Madone, et les sculptures de Florence, les annonciations, et Fra Angelico, on frôle le guide bleu..mais il voit aussi ,dans les journaux, l’affaire de Berlusconi et de ses soirées « bunga bunga » ce qui le met en colère..ah... je trouve que Haenel écrit bien mais il est souvent trop sous l’influence égotiste de Sollers, citant sans cesse Heidegger, Hegel, , et Dante et re Bataille. ; comme son maitre et éditeur.. Dommage ce suivisme culturel….. Le meilleur passage est un petit récit bref d’un voyage de quelques jours au japon. à mon gout son Italie est trop surchargée de références érudites et picturales, comme s’il se méfiait de toute spontanéité…Son Italie n’est pas assez charnelle, quotidienne, vraie, sauf un personnage… d’africain qui vend des breloques... Une méditation sur la solitude offre quelques belles pages au bord de la mer, un soir d’orage.... mais que de recherches alambiquées, que de quête de « signes », et de recherche bien sollicité « d’extases » décrites avec une curieuse obscurité religieuse ; ajoutez parfois un style emphatique, voire grandiloquent..qui prête à sourire Oui, ce livre oscille entre les notes de voyage intéressantes, et une quête spirituelle casse- bonbon.

6 internautes sur 8 ont trouvé ce commentaire utile.
Je cherche Yannick Haenel
Par VIGGO
J'avais beaucoup aimé le "Karski" de Yannick Haenel... et comme les mots "Italie", "Florence" ont une résonnance particulière pour moi je me suis embarqué dans la lecture de ce petit livre (200 pages) mais j'ai laché prise au bout de 70, trop abscons pour moi.

0 internautes sur 0 ont trouvé ce commentaire utile.
Un must d'erudition
Par FouDeLittérature
Un must d'érudition par un auteur rare. Un écrivain digne de ce nom qui fait partie de la génération faisant honneur à la littérature francaise. A lire absolument.

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